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Comité d’évaluation euthanasie belge (CFEE) rapport sur 2014-2015

Dans ces 2 années sont signalés aux performances CFUE 3950 d’euthanasie (1928 en 2014 et 2022 en 2015 ; 165 par mois en moyenne), 1,8 % de tous les décès. En plus de 99 % concernait l’euthanasie (par injection). Il est clair que depuis 2014 par an débute à niveau : a été que plus que dans les années précédentes (plus de 14 %) en 2014 et 2015 6,7 % et 4,77 %.  75 % des réponses étaient sans examen intensif, parce qu’ils remplissent toutes les conditions légales. Dans les 25 % restants ont décidé les CFEE des informations supplémentaires à la médecin déclarant. Il y avait un doute dans une déclaration suffisant ce devant la Cour.

La distribution des notifications (CFEE : une « inadéquation ») était de 20 % parlant Français et 80 %flamands. Le CFEE identifie seulement des raisons simplement hypothétiques. Entre la langue deux groupes ont montré aucune différence dans les raisons pourquoi une demande a été faite et une euthanasie executée.

Les conditions dans les couches de base de l’euthanasie sont semblables aux Pays-Bas : les cancers métastatiques ou gravement invalidantes (67,7 %), pathologie poly (9,7 %), maladies du système nerveux (6,9 %), les maladies de l’appareil cardiovasculaire (5,2 %), des troubles mentaux et des troubles du comportement (3,1 %) et les maladies du système respiratoire (3,1 %).

Dans la dernière période beaucoup et souvent une polémique sur l’euthanasie dans les situations de la psychiatrie était conduite, qui montrent une croissance sans précédent. La réponse de CFEE que, par le biais de l’enquête sur les cas signalés, la crainte que l’euthanasie chez les patients psychiatriques trop vite et trop frivoles est attribué qu’une certaine réclamation est sans fondement. La recherche qui s’appuie sur les 4 dernières années montre que le nombre de patients qui, en raison de l’euthanasie de dépressions récurrentes chroniques incurables, a obtenu une tendance à la baisse. En revanche, il y a une tendance à la hausse légèrement quant au nombre d’euthanasie sur des patients souffrant de démence.

Le rapport complet peut être lu ici

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