Février 19, 2008
Après de longs débats, le Parlement a voté en faveur de la Err / Huss projet de loi par 30 à 26 voix (3 abstentions). Le projet de loi a été défaite en 2002 par 2 voix (3 abstentions). Contrairement aux précédents votes, cette année, le vote a eu lieu sans parti politique. Les représentants sont libres de voter selon leur conscience plutôt que selon la politique des partis.
Le nouveau Err / Huss projet de loi contient une modification importante en ce qui concerne la commission de contrôle de l’euthanasie. Le projet de loi initial proposé un pré-euthanasie “centre” commission composée d’un corps de neuf professionnels – trois médecins, trois travailleurs sociaux et trois représentants des droits des patients. Cela a été modifié à un poste-commission d’examiner l’euthanasie. Les auteurs croient une pré-commission d’examiner l’euthanasie entraînerait de lourdes charges administratives participation avant une décision finale externe sur la volonté du malade – vaincre l’idée même de “l’auto-détermination”.
Des organes similaires sont utilisés avec succès en Belgique et aux Pays-Bas, deux pays où une dépénalisé l’euthanasie a été pratiquée au cours des deux dernières années, sans craindre la pente glissante de l’utilisation incontrôlée de l’euthanasie.
“Ce projet de loi n’est pas un permis de tuer”, a déclaré Lydie Err “ce n’est pas un droit pour les parents ou les médecins, mais pour le patient à lui seul de décider s’il veut mettre un terme à ses souffrances”
En vertu de la nouvelle loi, qui devrait se faire sur le statut des livres avant l’été, les médecins devront consulter un collègue pour confirmer que la personne souffre de «un état incurable avec la souffrance insupportable”, applicable à environ 3-7% des patients en phase terminale. Aucun médecin ne peut être contraint de pratiquer l’euthanasie, mais doivent respecter la vie du patient et de ce que, si la volonté de se conformer, doit remettre le dossier à un collègue prêt à agir conformément à la volonté du malade.